Courir de chien
Je connais les coureurs qui ne s’entraînent pas avec leurs chiens. Leurs raisons me surprennent – trop chaudes, trop froides, la canine ne peut pas suivre, la canine tire. Pour moi, il y a quelque chose de terriblement mal avec ces excuses. Les chiens sont impliqués à courir.
Quant à moi, je refuse de laisser mon mutt ace derrière, même si cela implique la marche.
ACE est un grand mélange de laboratoire à poils longs. Il est principalement retriever mais a un cadre maigre avec des muscles visibles comme un Vizsla ou Weimaraner. Il ralentit et fait de son mieux pour ne pas tirer pendant mes jours plus lents. Par ses jours lents (ils sont rares) ou s’il devient trop chaud, je diminue également ma vitesse de course. Après tout, si ce n’était pas pour ACE, j’ai peut-être cessé de courir il y a longtemps.
Depuis que je possède une entreprise de course canine et de marche canine à Solana Beach, je cours si généralement, il est facile d’oublier pourquoi j’ai commencé à courir canin en premier lieu.
La course est quelque chose que je peux appeler le mien. C’est quelque chose pour mes chiens et moi. Ma chérie ne fonctionne pas. Les membres de ma famille ne courent pas. Mes copains en ville ne courent pas. Mais les chiens? Ils sont toujours impatients de courir.
J’ai eu l’idée de m’entraîner pour un marathon complet en janvier 2007. C’était avant d’avoir une canine à moi. Je suis sorti pour ma première course d’entraînement de 14 milles. Puis un 15 miler. Puis 16 miles.
Des réflexions sur ce que j’adopterais canin a rempli mon esprit pendant ces courses et m’a motivé à continuer. Je lisais en ligne la société humaine et les profils de sauvetage et je me suis mis à l’esprit sur quelques chiens – Ace étant l’un d’entre eux.
J’ai adopté mon Mutt en mars, deux mois seulement avant le marathon de Fargo 2007. Ace a tout de suite joué son rôle de mon copain de course et m’a accompagné sur mes courses de 6 miles communes ainsi que des courses de 10 à 20 milles une fois par semaine. Son cadre et son énergie ont fait de lui un partenaire de formation optimal.
Quand il fait –20 degrés à Fargo, Ace est toujours prêt à fonctionner. Dans certains cas, il fait si froid que mes cils gèlent ensemble et la bave d’Ace cristallise. Nous ne nous en soucions pas. Je jette une couche supplémentaire et Ace porte ses bottes et gilet et nous allons.
Je sais quelles heures de la journée et sur quels voies pendant les saisons d’achat pour maximiser mon temps seul – le temps avec ma canine ou n’importe quel canin que je cours à cette heure particulière.
La course à pied est excitante parce que je sais que plus je vieillis, plus je deviendrai fort. À 26 ans, je ne suis pas encore dans mon premier rang. Je me rends compte que tout cela est une question d’attitude, mais je refuse de croire que je devrais déjà ralentir. Mes temps plus rapides, moins de blessures et de kilométrage amélioré montrent mon point de vue.
Pourtant, après seulement deux ans et demi de course avec mon chien, j’ai découvert que le rythme de mon chien a ralenti. Déjà, Ace est plus âgé que moi (environ 34 ans) pendant les années canines.
Heureusement que je ne me soucie pas beaucoup de la vitesse. Si je laisse mon point de vue à la maison ou refuse de le regarder jusqu’à ce que je rentre à la maison, Ace me garde à un rythme stable de 10 minutes. Il semble que nous nous soyons fusionnés après de nombreux entraînements ensemble.
Mon Mutt Ace, ainsi que les coureurs canins à travers le pays offrent beaucoup plus de soutien aux coureurs qu’ils ne le sauront jamais.
Si je peux offrir une chose canine, c’est pour opter pour une course. Qu’il s’agisse d’un client rémunéré, d’un chien de sauvetage, d’un copain ou d’un membre de la famille ou de mon Mutt Ace, vous ne me trouverez pas courir sans un copain à mes côtés.
Pour en savoir plus, consultez mon autre article sur mon entreprise de course canine.